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Partie Politique de Macron: Structure Interne

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    Table of Contents

partie politique de macron

Qu’est-ce que La République En Marche, ce mouvement né comme une étincelle dans un café de province ?

Tiens, tu t’imagines Macron, en 2016, debout sur une chaise dans un bistrot poussiéreux de Lyon, un verre de beaujolais à la main, lâchant : « Bon, j’fais mon propre truc, hein — j’en ai marre d’essayer d’faire rentrer ma tête carrée dans les chapeaux ronds de l’UMP » ? Ouais, c’était presque ça. La partie politique de macron, d’abord baptisée « En Marche ! », n’était même pas un parti — plutôt une espèce de start-up citoyenne, un OVNI politique lancé par un ex-banquier devenu ministre, qui avait l’air plus à l’aise avec Excel qu’avec les slogans de meeting. Et pourtant… bam — en à peine un an, ce mouvement a balayé les vieux partis comme des feuilles mortes en automne. Y’avait même des mamies qui vendaient des badges « Macron président » sur les brocantes de Strasbourg. Tout ça, c’était le début d’une révolution douce, un peu comme si on remplaçait le vin rouge par du kombucha à la réunion du conseil municipal. Et aujourd’hui ? Cette partie politique de macron s’appelle Renaissance — mais dans les conversations de comptoir, on l’appelle toujours « le truc à Macron », comme si le patron était encore là, derrière le bar, à régler les notes.


Le programme économique de la partie politique de macron : entre pragmatisme néolibéral et concessions sociales

La loi Travail, dite « El Khomri bis »… ou comment décrasser le code du travail à l’eau de Javel

Ah, la loi Travail de 2017 — un vrai morceau de bravoure, genre Le Sacre du Printemps, mais joué au parlement avec des huées en fond sonore. La partie politique de macron a foncé tête baissée : flexibilité accrue des CDD, plafonnement des indemnités prud’homales, négociations d’entreprise prioritaires sur les accords de branche… Tout ça, c’était pour « libérer l’initiative », disait-on. En vrai ? Des patrons ont souri, des syndicats ont pleuré dans leurs calicots. Faut dire que la partie politique de macron a toujours joué ce rôle : un équilibriste sur un fil tendu entre Davos et la rue de Fleurus, un pied dans le CAC 40, l’autre dans une coopérative bio de Dordogne.


La réforme des retraites : le moment où la partie politique de macron a appris à danser sous la pluie de cocktails Molotov

Au-delà du 49.3, une fracture symbolique

Bon, on va pas se mentir — quand Macron a dit « j’assume » après avoir enclenché le 49.3 pour la 23e fois sur la réforme des retraites, y’a eu un silence dans toute la France. Même les corbeaux sur les toits de Toulouse se sont arrêtés de caqueter. La partie politique de macron s’est retrouvée coincée entre deux murs : d’un côté, les marchés qui exigeaient « stabilité et crédibilité », de l’autre, des grévistes qui chantaient « À bas le macronisme ! » en rythme avec les klaxons des bus. Résultat ? Un recul partiel (l’âge pivot à 64 au lieu de 65), mais une image écornée. Désormais, chaque fois qu’on dit « partie politique de macron », les jeunes pensent « retraites », les vieux pensent « trahison », et les pigeons de la place de la République… bah eux, ils pensent aux miettes.


Les élections européennes de 2024 : la partie politique de macron se fait damer le pion par une vague verte-jaune

Quand le scrutin devient un miroir cassé

Alors là, c’était presque du théâtre absurde. La liste Renaissance menée par Valérie Hayer — brillante, élégante, hyper compétente — a ramassé 14,6 % des voix. Oui, 14,6 %. Pendant ce temps, Jordan Bardella souriait devant un fond vert, avec 31,5 %, comme s’il venait de gagner au loto des idées. La partie politique de macron a réalisé alors ce qu’elle redoutait : elle n’était plus le centre, mais… le centre-gauche ? Le centre-droit ? Le centre-perdu ? Personne ne savait plus très bien. Et dans les sections locales de Seine-Saint-Denis, des militants ont commencé à s’interroger : « Mais… on est encore utiles, ou on sert juste de pot de fleurs décoratif au Sénat ? »


La transformation de « En Marche » en Renaissance : un rebranding ou une métamorphose forcée ?

Changement de nom, même ADN ?

En septembre 2022, après la présidentielle et les législatives *— tiens, on a jamais vraiment parlé de cette cohabitation boiteuse, hein ?*— la partie politique de macron a eu droit à un lifting. Exit « En Marche », bonjour « Renaissance ». Comme si tu changeais de pseudo Tinder après une rupture douloureuse. Officiellement, c’était pour créer une « coalition de la majorité présidentielle » avec Horizons et le Modem. En vrai ? C’était surtout pour enterrer le mythe du « mouvement citoyen » et accepter la dure réalité : on est devenus un parti. Un vrai. Avec des cotisations, des congrès, des rivalités internes dignes de Game of Thrones version mairie d’arrondissement. Et pourtant… dans les discours, on continuait à dire « notre dynamique », « notre ADN de mouvement ». Mouais. Comme si un crocodile disait qu’il adore les papillons.

partie politique de macron

Les jeunes et la partie politique de macron : un amour impossible, genre « elle/il est parti(e) avec mon meilleur ami(e) »

Déconnexion ou désillusion programmée ?

Faut juste jeter un œil aux stats — en 2023, seulement 18 % des 18–24 ans se disaient « plutôt favorables » à la partie politique de macron. À titre de compa', c’est moins que la popularité d’un sandwich sans cornichon. Pourquoi ? Parce que pour cette génération, « macronisme » = réforme des retraites + 60 % de stages non rémunérés + logements à 900 EUR/mois à Lille. Un cocktail détonant. Y’a bien eu des tentatives — des « universités d’été », des podcasts TikTok avec Stanislas Guerini — mais bon… c’est comme essayer de faire aimer les choux de Bruxelles à un chat. La partie politique de macron est perçue comme « efficace mais froide », comme une appli de banque : utile, mais t’as jamais envie de lui dire « t’es mon pote ».


Les fractures internes : quand la partie politique de macron ressemble à un fromage bleu trop mûr

Horizons, Modem, Renaissance… mais qui commande vraiment la playlist ?

Imagine une soirée chez des amis où t’as : - Édouard Philippe qui écoute du jazz cool à fond, - François Bayrou qui récite du La Fontaine en tapant du pied, - et Gabriel Attal qui essaie de mettre du zouk créole pour détendre l’ambiance. Voilà, c’est la coalition présidentielle. La partie politique de macron — pardon, Renaissance — est censée être le noyau, mais en vrai, c’est un château de cartes. En 2024, après l’échec aux européennes, plusieurs cadres ont lâché des interviews à mots couverts du style « faut repenser notre ancrage », ce qui, en langage politique, veut dire : « J’me barre bientôt ». La tension ? Elle est palpable, comme l’odeur d’un camembert oublié dans la voiture en juillet.


Macron sans Macron : peut-on encore parler de partie politique de macron après 2027 ?

Le syndrome du fondateur — quand le parti a du mal à marcher sans béquilles

Tiens, tu sais ce qu’on dit dans les couloirs de l’Assemblée ? « Sans Emmanuel, Renaissance devient… Renaissance *sans* Emmanuel. » Pas très accrocheur, hein ? La partie politique de macron souffre d’un déficit de visage charismatique alternatif. Attal ? Populaire, mais jeune, fragile. Le Maire ? Expérimenté, mais trop parisien pour la France périphérique. Hayer ? Brillante, mais… l’Europe, c’est pas le terrain. Bref, on est dans une phase de transition chaotique, comme un groupe de rock qui perd son chanteur et cherche un remplaçant en faisant passer des castings dans les métros. Et le pire ? Personne n’a encore trouvé *le* tube.


Les financements et la transparence : combien coûte une campagne quand t’es la partie politique de macron ?

Le mécénat, les cotisations… et cette rumeur sur un don d’un milliardaire suisse (spoiler : c’était faux)

Selon la CNCCFP, la partie politique de macron a déclaré des recettes de 21,3 millions EUR en 2023 — dont 42 % venant de cotisations (moyenne de 63 EUR par adhérent), 28 % de subventions publiques, et 30 % de dons privés. Oui, des gens donnent encore de l’argent à un parti qui a voté la réforme des retraites. On n’comprendra jamais l’espèce humaine. Les gros donateurs restent anonymes — loi oblige — mais on chuchote dans les dîners parisiens que certains viennent de la tech, d’autres de la finance verte. Et non, malgré ce qu’a dit un troll sur X, non, Elon Musk n’a pas versé 200 000 EUR — c’était un hoax, comme la rumeur du fromage qui pousse sur les murs de la Tour Montparnasse.


L’avenir de la partie politique de macron : entre recomposition, alliance, ou dissolution douce

2027 sera-t-elle l’année de la métamorphose… ou de l’extinction ?

Alors, où va la partie politique de macron ? Trois scénarios circulent dans les think tanks (et sur les comptoirs du Quartier Latin) : 1. La fusion : Renaissance + Modem + Horizons → un seul parti « Union des Républicains Progressistes ». Moins sexy qu’« En Marche », mais plus stable qu’un vélo à trois roues. 2. L’éclatement : chaque composante part de son côté — Attal crée « Nouvelle Aube », Bayrou revive le Modem en mode « papa sage », et Philippe lance « La Droite Réformiste ». 3. La mue silencieuse : le parti s’efface progressivement derrière une nouvelle figure — une femme, originaire du Sud, issue de la société civile… genre une mairesse de Montpellier ou une ex-PDG de bio-tech. Peu importe le chemin, une chose est sûre : la partie politique de macron ne survivra pas à 2027 si elle continue à se présenter comme « l’équipe de Macron ». Parce que… spoiler alert : Macron ne sera plus là. Et sans lui ? Eh ben… on va devoir réapprendre à marcher — sans « En ». D’ailleurs, si tu veux suivre cette évolution en direct, file donc sur le site de Jean-Michel Clement, ou plonge dans la rubrique Politique, où on décortique chaque rebondissement avec la rigueur d’un prof de khâgne et l’humour d’un bistro de Belleville. Et tiens — si t’as aimé cet éclairage, jette un œil à notre article sur Renew : le parti politique Renouveau Européen, parce que, soyons francs, l’Europe mérite aussi son moment sous les projecteurs (et un peu de vin blanc).


Questions Fréquentes sur la partie politique de macron

Quel est le mouvement politique de Macron ?

Le mouvement politique fondé par Emmanuel Macron s’appelait initialement « En Marche ! » (2016), puis « La République En Marche » (2017–2022), avant de devenir « Renaissance » en 2022. Aujourd’hui, Renaissance est le pilier central de la coalition « Ensemble », qui inclut aussi le Modem et Horizons. Cette partie politique de macron se situe au centre, avec des accents libéraux, progressistes et européistes — même si, dans les bistrots de province, on la résume souvent à « les gars en costard qui parlent vite ».

Qu’est-ce que Macron a fait pendant son mandat ?

Durant ses deux mandats, Emmanuel Macron, soutenu par sa partie politique de macron, a lancé plusieurs réformes majeures : la loi Travail (2017), la transformation du Crédit d’Impôt pour la Compétitivité et l’Emploi en CICE permanent, la baisse de l’IS à 25 %, la réforme des retraites (2023), la loi climat & résilience, la généralisation de Parcoursup, et la création de France 2030. Il a aussi modernisé les institutions (réduction du nombre de parlementaires, suppression de la Cour de Justice de la République) — des chantiers qui ont marqué durablement le paysage politique, même si, comme on dit à Marseille : « Beaucoup de bruit, peu de nouilles… pour certains ».

Pourquoi Macron ne peut pas se présenter en 2027 ?

La Constitution française, dans son article 6 modifié par la réforme de 2008, limite la durée du mandat présidentiel à deux consécutifs maximum. Après deux quinquennats (2017–2022, puis 2022–2027), Emmanuel Macron ne peut plus se représenter — sauf si on change la Constitution (ce qui demanderait un référendum ou un vote des 3/5ᵉ parlementaires). Donc non, même si la partie politique de macron faisait un meeting géant sur la place de la Concorde avec fontaines de champagne et drones en forme de « M », ce serait… juridiquement impossible. Désolé, les gars.

Quel est le régime politique actuel ?

La France est une République semi-présidentielle, selon la Ve République instaurée en 1958. Le président est élu au suffrage universel direct, nomme le Premier ministre (souvent issu de la majorité à l’Assemblée nationale), et partage le pouvoir exécutif — d’où les fameuses périodes de « cohabitation », comme celle qu’on anticipe peut-être pour 2024–2027. La partie politique de macron a joué un rôle clé dans la stabilisation de ce régime, notamment en essayant de limiter les effets de la « fracture » droite/gauche — même si, récemment, on dirait plutôt qu’on est passé de la fracture… à l’éboulement.


Références

  • https://www.conseil-constitutionnel.fr/decisions/2008-565-dc
  • https://www.cnccfp.fr/statistiques-annuelles-2023
  • https://www.institut-montaigne.org/publications/le-macronisme-anatomie-dun-mouvement
  • https://www.sciencespo.fr/centre-etudes-europeennes/fr/recherche/publications/renaissance-identite-politique

2025 © JEAN MICHEL CLÉMENT
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