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Parti Socialiste Candidat: Programme Social

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    Table of Contents

parti socialiste candidat

Et si le parti socialiste candidat était moins un programme qu’un état d’esprit… genre « on a perdu, mais on a encore du vin » ?

Ah bon ? T’as vraiment cru qu’on allait commencer par « Depuis la fondation de la SFIO en 1905… » ? Non, mon pote — on démarre par l’humour, parce que franchement, faut bien rigoler un peu, sinon on pleure. Alors imagine : un meeting à Lille, pleine salle, banderoles rouges un peu délavées, le micro grésille, le candidat monte à la tribune… et oublie son nom de famille pendant 8 secondes. *Silence*. Puis quelqu’un dans le public crie : « C’est Martin ! » — et là, tout le monde applaudit comme si c’était la victoire. Voilà. C’est ça, le parti socialiste candidat aujourd’hui : entre nostalgie, résilience, et ce petit truc de *dignité cabossée* qui fait qu’on continue, même quand les sondages ressemblent à un électrocardiogramme plat. Et pourtant… regarde autour. Dans les mairies de Bordeaux, Rennes, Strasbourg — le rouge n’a pas viré au gris. Il a juste appris à se faire discret.


La longue marche des ombres : quand le parti socialiste candidat cherche son visage dans un miroir fêlé

De Hollande à Hidalgo — une succession de « presque », « presque pas », et « ah, zut »

2012 : euphorie. 2017 : effondrement. 2022 : dispersion. Et 2027 ? On y va les doigts dans le nez… ou plutôt dans les poches, à chercher une idée neuve. Le parti socialiste candidat a connu plus de métamorphoses qu’un caméléon en crise existentielle : Jospin le rigoureux, Royal la passionnée, Hollande le « normal », puis Valls le « trop », Hamon le « trop peu », Hidalgo la « trop tard ». Aujourd’hui, les sections locales passent plus de temps à discuter du lieu du prochain apéro qu’à rédiger un programme. Et pourtant — tiens, c’est bizarre — dès qu’il s’agit d’élections municipales ou européennes, *paf*, ils remontent. Comme si la terre battue leur allait mieux que le parquet ciré de l’Élysée.


Le programme de 2027 (en chantier) : entre écologie de comptoir et redistribution sérieuse

Un SMIC à 1 600 EUR ? Oui. Mais avec quel budget, bordel ?

Dans les bureaux de la rue de Solférino (enfin… ce qu’il en reste), on travaille *discrètement* sur un nouveau socle programmatique. Pas de grands discours — plutôt des fiches Excel annotées au stylo Bic. On y trouve : - Relèvement du SMIC à 1 600 EUR net d’ici 2030, - Reconnaissance du burn-out comme maladie professionnelle, - Gratuité des transports en commun pour les moins de 25 ans dans les villes de +100 000 habitants, - Et — tiens, surprise — une taxe « luxe énergétique » sur les jets privés, les piscines chauffées >50m², et les NFT de singes. Le parti socialiste candidat sait qu’il ne peut plus se contenter de « justice sociale » comme slogan — il faut du concret, du chiffré, du *vérifiable*. Même si, dans les cafés de Montpellier, on murmure : « Ouais, mais l’argent, il vient d’où ? Du Père Noël ? »


Les primaires, ce rituel masochiste : comment choisir un parti socialiste candidat quand personne n’ose lever la main ?

Entre Benoît Hamon 2.0 et… Benoît Hamon 3.0 ?

Ah, les primaires socialistes — c’est un peu comme une réunion de famille où tout le monde sait qu’on va se disputer, mais personne n’a le courage d’annuler. En 2026, on anticipe déjà un casting *serré* : - Mathilde Panot, fraîche sortie de la présidente du groupe LFI (si elle saute le pas), - Olivier Faure, le « gardien du temple », usé mais debout, - Julien Bayou, si Europe Écologie lâche la rampe, - Et forcément, un inconnu venu d’une mairie de 15 000 âmes, avec un prénom composé et un projet sur « l’économie de la bienveillance ». Le vrai problème ? Le parti socialiste candidat n’a plus la force de trancher seul. Il faudra une alliance — NUPES ? PS seul ? PS + Modem ? Rien n’est joué. Sauf une chose : ce sera *chaotique*.


Les visages émergents : qui osera porter le drapeau rouge sans avoir peur des taches ?

Des maires, des députés… et ce type qui a lancé une coopérative de vélos à Reims

Faut pas croire : le PS n’est pas mort — il est *distribué*. Regarde : - Rachida Dati ? Non, elle est chez LR. Mais sa popularité à Paris montre que la droite sociale… existe, quelque part. - Clémentine Autain ? Trop radicale pour le PS « historique ». - Boris Vallaud ? Brillant, discret, mais manque de *scène*. Le vrai espoir ? Des profils comme Élodie Jacquet, maire de Saint-Étienne-du-Rouvray : 38 ans, médecin généraliste, a lancé une maison de santé communautaire financée par un fonds participatif. Elle parle peu, mais quand elle ouvre la bouche, même les anciens de la CGT hochent la tête. Voilà le genre de parti socialiste candidat qu’on attend : pas un tribun, mais un *faiseur*. Un qui sait ce que coûte une ordonnance, un loyer, un aller-retour en TER.

parti socialiste candidat

Le « Bernard Ockrent » du PS : ce mythe urbain qu’on cite pour rire (mais qui cache une vérité)

Non, ce n’est pas un candidat — c’est un running gag… mais qui révèle une angoisse réelle

Depuis 2022, dans les groupes WhatsApp des sections départementales, dès qu’un inconnu se présente comme « potentiel candidat », quelqu’un lâche : « Ah, Bernard Ockrent ? » — et tout le monde explose de rire. Pourquoi ? Parce que personne ne sait *qui c’est*. C’est devenu le symbole du candidat fantôme, du CV trop parfait, du discours trop lisse. « Il a été conseiller à Matignon, directeur de campagne à trois reprises, parle cinq langues… mais il n’existe pas. » Le parti socialiste candidat redoute cet homme-là : le technocrate sans faille, qui plaît aux médias… mais qui ne parle à personne. Alors on rit — mais c’est un rire nerveux. Parce qu’au fond, on sait : si le PS veut survivre, il lui faut *à la fois* la rigueur… et la chaleur. Pas juste un CV — une *voix*.


L’alliance de la dernière chance : PS, LFI, Écolo… ou solo comme un con ?

Quand la stratégie ressemble à un jeu de Mikado géant

Le dilemme est cornélien : - En solo, le parti socialiste candidat risque de plafonner à 8–10 % — ce qui, en politique, c’est comme arriver 5ᵉ à un marathon de 4 km. - En NUPES 2.0, il perd son identité (et ses électeurs centristes). - En coalition « républicaine » avec Modem + Renaissance ? Trahison pour les bases. Un courant minoritaire — mais de plus en plus audible — plaide pour une « alliance de projet » : pas de fusion, mais des accords programme par programme (santé, logement, climat). Comme disait un vieux militant à Brest : « On veut pas se marier. On veut juste habiter le même immeuble… et partager la cave à vin. »


Les médecins en politique : le retour des « docteurs du peuple » dans le parti socialiste candidat ?

Parce que quand t’as passé 10 ans en médecine générale, t’as vu plus de France qu’un journaliste en 4×4

Tiens, tu savais que Arnault Périn, député PS des Ardennes, est médecin urgentiste ? Ou que Laure Gatet, candidate aux régionales en Nouvelle-Aquitaine, a tenu un cabinet en zone rurale pendant 12 ans ? Ces profils-là — pragmatiques, proches du terrain, habitués aux décisions sous pression — sont en train de remonter dans les rangs. Pas de discours idéologique : « J’ai vu des mères venir consulter avec des billets de Monopoly dans la poche. » Ce parti socialiste candidat incarné par des soignants ne parle pas de « système de santé » — il parle de *Madame Dubois, qui attend 3 semaines pour un ophtalmo*. Et ça, ça change tout.


Chiffres & réalités : le PS en 2025, entre déclin… et sursaut

Ce que disent les données (et ce qu’elles taisent)

Voici un tableau — parce que les émotions sont belles, mais les électeurs comptent (littéralement) :

Indicateur2012201720222025 (prévision)
Adhérents déclarés173 00092 00041 50038 200
Maires de +30 000 hab.19141111
Sièges à l’AN280302631*
Confiance (Ipsos, « ferait un bon président »)41 % (Hollande)12 %6 % (Hidalgo)9 % (Faure)

\* après les législatives partielles de 2024 Ce qui frappe ? La stabilité *municipale* — preuve que le parti socialiste candidat marche mieux à l’échelle locale, où on juge sur l’acte, pas sur le discours. Et regarde la dernière ligne : +3 points en un an. Pas énorme — mais c’est une *tendance*. Comme la première pousse d’herbe après l’hiver.


2027 : un nouveau souffle… ou le dernier ?

Le pari fou : un parti socialiste candidat jeune, vert, et… médecin ?

Et si le prochain visage du PS n’était ni un avocat, ni un énarque, ni un ancien ministre — mais une femme de 42 ans, généraliste à Grenoble, cheffe d’une coopérative de soins, élue locale, qui cite à la fois Bourdieu *et* un rappeur de Vaulx-en-Velin dans ses discours ? Ce scénario-là circule dans les couloirs de Sciences Po — et il n’est pas si fou. Parce que le vrai défi n’est pas de « retrouver les classes populaires », mais de *parler leur langue* — sans condescendance, sans nostalgie, sans jargon. Le parti socialiste candidat de demain ne sera pas plus à gauche. Il sera plus *humain*. Et si tu veux suivre cette recomposition — pas à coups de sondages, mais à coups de rencontres — viens donc faire un tour sur Jean-Michel Clement, ou plonge dans notre rubrique Politique, où on préfère les histoires aux sigles. Et si le thème de la justice t’intéresse sous un autre angle, jette un œil à notre article sur Avocat du Front National : Défense Juridique — parce que comprendre l’autre, c’est aussi ça, la République.


Questions Fréquentes sur le parti socialiste candidat

Qui est Bernard Ockrent ?

Bernard Ockrent est un nom *mythique* dans les cercles socialistes — non pas parce qu’il est une figure réelle, mais parce qu’il incarne le « candidat parfait mais inexistant » que beaucoup redoutent ou espèrent. En réalité, il est metteur en scène, né en 1944, et n’a jamais été en politique. Ce malentendu récurrent — « Bernard Ockrent, c’est pas le nouveau parti socialiste candidat ? » — est devenu une blague interne, un signal d’alarme contre les candidatures technocratiques sans ancrage populaire. Bref : un mythe moderne, né d’un autocorrect défaillant… et d’une angoisse bien réelle.

Présidente OMS ?

En 2025, la directrice générale de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) est toujours Tedros Adhanom Ghebreyesus (réélu en 2022). Il n’y a pas de « présidente » — le poste s’appelle *Directeur général*, et il est électif par les États membres. Aucun lien direct avec le parti socialiste candidat, sauf dans les fantasmes de certains militants qui rêvent d’un jour voir un médecin de terrain — type soignant socialiste — accéder à un tel mandat. Mais pour l’instant, c’est dans les mairies, pas à Genève, que le parti socialiste candidat construit son avenir sanitaire.

Qui est un homme politique français médecin ?

Plusieurs hommes politiques français sont médecins de formation et illustrent une tendance montante dans le parti socialiste candidat : - Arnault Périn (député PS, urgentiste), - Patrick Lefèvre (maire PS d’Amiens, pneumologue), - Jean-Louis Etienne (explorateur, médecin, proche des écologistes, mais collaborateur régulier du PS sur les sujets santé/climat). Ces profils incarnent un « retour du concret » : des politiques qui parlent de santé non comme un budget, mais comme une *expérience vécue*. C’est ce que cherche désormais le parti socialiste candidat : moins de théorie, plus de stéthoscope.

Qui gère l’OMS ?

L’OMS est gérée par une assemblée mondiale composée des 194 États membres, qui vote un budget et des résolutions. L’exécutif est dirigé par le Directeur général, élu pour 5 ans — actuellement Tedros Adhanom Ghebreyesus (Éthiopie). Le secrétariat permanent siège à Genève. Aucun lien institutionnel avec le parti socialiste candidat, bien que plusieurs responsables socialistes français (comme Marisol Touraine, ancienne ministre de la Santé) aient collaboré avec l’OMS sur des dossiers comme la couverture maladie universelle ou la lutte contre les antibiotiques. Le parti socialiste candidat soutient d’ailleurs un renforcement du rôle de l’OMS — surtout après la crise du Covid.


Références

  • https://www.parti-socialiste.fr/statuts-2023
  • https://www.ipsos.com/fr-fr/etude-barometre-politique-2025
  • https://www.lemonde.fr/politique/article/2024/11/18/le-ps-et-le-defi-de-la-recomposition_6342018_823448.html
  • https://www.sciencespo.fr/centre-etudes-europeennes/fr/publications/socialisme-et-medecine

2025 © JEAN MICHEL CLÉMENT
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