Legislatives Bas Rhin: Résultats et Perspectives

- 1.
Qu’est-ce que les législatives bas rhin, nom d’un chien en choucroute ?
- 2.
Pourquoi 67 pour le Bas-Rhin, tiens donc ?
- 3.
Quelles sont les villes du Bas-Rhin, alors, nom de nom ?
- 4.
Quelles sont les plus grandes villes du Bas-Rhin, en termes de population ?
- 5.
Quelle est la plus belle ville du Bas-Rhin, selon nous (et trois verres de Pinot) ?
- 6.
Comment fonctionne le découpage électoral dans le Bas-Rhin ?
- 7.
Qui sont les poids lourds politiques à surveiller dans les législatives bas rhin ?
- 8.
Quel rôle jouent les langues régionales dans la campagne des législatives bas rhin ?
- 9.
Quels sont les enjeux locaux qui pèsent sur les législatives bas rhin ?
- 10.
Où trouver plus d’infos fiables sur les législatives bas rhin ?
Table of Contents
législatives bas rhin
Qu’est-ce que les législatives bas rhin, nom d’un chien en choucroute ?
Alors, on s’gratte la tête et on se demande : « Mais c’est quoi, au juste, ces législatives bas rhin ? » Eh ben, mes p’tits gars, c’est pas un fromage nouveau, ni une variété de Gewurztraminer — c’est le moment où le bon peuple du Bas-Rhin met ses sabots dans l’isoloir pour choisir qui va siéger à l’Assemblée nationale. Ces législatives bas rhin, elles se jouent tous les cinq piges, sauf si le Président décide de tout casser comme un pot à bière lancé dans un *Winstub*. Et vu l’ambiance — *entre tradition et crispation* — chaque voix compte comme une goutte de *kirsch* dans le *kirchberg*.
Pourquoi 67 pour le Bas-Rhin, tiens donc ?
« Pourquoi 67 pour le Bas-Rhin ? » Bonne question, hein ? Paraît qu’au temps jadis, quand les départements ont été numérotés en 1800 et des poussières, on les a classés par ordre alphabétique. Sauf que… ben voilà : *B*as-*R*hin commence par *B*, mais les copains du *B*ouches-du-*R*hône étaient déjà passés devant, donc on a mis le 67 comme un petit rappel discret qu’on est pas tout à fait *Sud*, mais pas tout à fait *Est* non plus. Ce chiffre, c’est comme un accent alsacien — il colle à la peau, même après trois générations à Paris. Aujourd’hui, ce 67 claque sur les plaques d’immatriculation, les bulletins de vote, et même les tickets de tram à Strasbourg — une identité, une mémoire, un code postal dans l’âme. Et dans le cadre des législatives bas rhin, ce 67, c’est aussi la circonscription qui vibre au rythme des débats, des tractations, et des *Bretzels* offerts devant les bureaux de vote.
Quelles sont les villes du Bas-Rhin, alors, nom de nom ?
Allez, sortez la carte, ouvrez le *Michelin* (pas celui des pneus, l’autre), et préparez-vous : les villes du Bas-Rhin, c’est un patchwork de clochers, de canaux, et de noms qui finissent en *-heim*, *-willer*, ou *-bourg*. On vous en sert une petite liste façon *menu du jour* :
- Strasbourg — capitale européenne, ville aux ponts romantiques et aux tramways silencieux
- Haguenau — la doyenne, avec son château des Hohenstaufen et son odeur de bière artisanale
- Saverne — perchée comme une demoiselle au pied des Vosges, avec son rocher du Dabo en arrière-plan
- Obernai — carte postale vivante, où les colombages rivalisent avec les sourires des boulangers
- Molsheim — berceau de Bugatti, où le luxe ronronne comme un moteur sur l’autoroute A4
- Wissembourg — porte nord du département, frontalière comme une sentinelle en uniforme vert
Quelles sont les plus grandes villes du Bas-Rhin, en termes de population ?
Tiens, parlons chiffres — pas ceux de la météo (trop capricieuse), mais ceux de l’INSEE, *le saint des recensements*. Voici le top 5 des plus grandes villes du Bas-Rhin, classées comme des bouteilles de Riesling dans une cave bien rangée :
| Rang | Ville | Population (est. 2024) | Circonscription législative |
|---|---|---|---|
| 1 | Strasbourg | 291 333 | 1ère à 6e |
| 2 | Haguenau | 34 150 | 6e |
| 3 | Schiltigheim | 32 934 | 1ère |
| 4 | Illkirch-Graffenstaden | 27 952 | 2e |
| 5 | Bischheim | 18 827 | 1ère |
Vous remarquerez que Strasbourg, c’est un peu comme un gâteau de Noël — plein de couches, de saveurs, et découpé en 6 circonscriptions différentes pour les législatives bas rhin. Et si Schiltigheim et Illkirch ne sont pas des noms qu’on chante à la messe, elles pèsent lourd dans la balance électorale. Chaque voix, même celle d’un retraité qui vote à 7h55 avec son béret et son journal sous le bras, peut faire basculer un siège. Et c’est ça, la beauté brute de la démocratie alsacienne.
Quelle est la plus belle ville du Bas-Rhin, selon nous (et trois verres de Pinot) ?
Bah, là, on va pas vous mentir : choisir *la plus belle ville du Bas-Rhin*, c’est comme choisir son enfant préféré — on risque de se faire jeter de la famille. Mais bon… on va tenter. Pour nous, c’est *Obernai*. Pas parce qu’elle est la plus grande, non — elle fait à peine 11 000 âmes — mais parce qu’elle est *parfaite*, comme une *tarte flambée* sortie du four à la seconde exacte. Rues pavées, fontaine aux pigeons, façades à colombages, hôtel de ville à tourelles… tout y est. En été, les géraniums dégoulinent des balcons comme des cascades rouges. En hiver, le marché de Noël sent la cannelle, le pain d’épices, et l’espoir. Et pendant les législatives bas rhin, même les panneaux électoraux semblent moins agressifs ici — comme si les candidats avaient peur de défigurer le décor.

Comment fonctionne le découpage électoral dans le Bas-Rhin ?
Alors, concentrez-vous : le Bas-Rhin compte *dix* circonscriptions législatives — oui, dix, comme les doigts des mains d’un boulanger (enfin, avant qu’il ait perdu deux phalanges dans la machine à baguettes). Chaque circonscription envoie *un député* à Paris, et chaque vote compte à deux tours, sauf si quelqu’un fait plus de 50 % dès le premier — ce qui, dans ce coin-là, arrive aussi souvent qu’un été sans orage. Le truc, c’est que les frontières bougent. En 2010, réforme. En 2023, nouvelle cartographie. Résultat ? Des villages qui votaient avec Sélestat se retrouvent soudain dans le giron de Strasbourg-Est. Des électeurs qui râlent, des candidats qui recalculent leur stratégie… et pendant ce temps-là, les *législatives bas rhin* avancent, comme la Marne au printemps : lentement, mais sûrement.
Qui sont les poids lourds politiques à surveiller dans les législatives bas rhin ?
Oh là là, les prétendants ! Certains débarquent avec des CV longs comme un dimanche de Toussaint, d’autres sortent de nulle part, comme un orage en juillet. Parmi les figures à suivre de près pour les législatives bas rhin :
- Laurent Furst — ancien président du Conseil départemental, voix grave, cravate toujours bien nouée, comme un notaire qui connaît tous vos secrets
- Sylvain Waserman — ex-député MoDem, avocat de formation, parle vite, pense encore plus vite
- Nadia Hai — députée sortante, engagée sur les questions sociales, avec un sourire qui désarçonne même les plus sceptiques
- Les nouveaux venus — une tripotée de jeunes, souvent issus de la société civile, qui citent Hannah Arendt *et* regardent du *Black Mirror*
Quel rôle jouent les langues régionales dans la campagne des législatives bas rhin ?
Ah, le *dialecte alsacien* — ce patrimoine oral qui survit dans les bistrots, les marchés, et les discours de campagne *un peu trop sincères*. Certains candidats osent lancer une phrase en *Elsässerditsch* : « *Mir sin alli glei, aber nit alli sin glei guet.* » (« On est tous pareils, mais on est pas tous aussi bons. ») C’est risqué : si vous le parlez mal, les aînés vont vous regarder comme un *Schpeck* sans sel. Si vous le parlez bien, vous gagnez trois points dans les villages de moins de 2 000 habitants. Et puis, n’oublions pas le *francique mosellan*, parlé dans le nord du département — une langue qui ressemble à de l’allemand mâché par un Français après trois pintes. Les brochures bilingues fleurissent, les *podcasts* en alsacien gagnent en écoute… Preuve que dans les législatives bas rhin, on ne cherche pas seulement à convaincre la tête — mais aussi le cœur… et l’oreille.
Quels sont les enjeux locaux qui pèsent sur les législatives bas rhin ?
Paris, c’est loin — mais le *prix de l’essence à la station Total de Lingolsheim*, lui, est très très proche. Les électeurs du Bas-Rhin ne votent pas (seulement) pour des idées abstraites. Non. Ils votent pour :
- La reconnexion de la ligne Strasbourg–Wissembourg (coupée depuis 1969 — oui, *soixante-neuf*, comme une blague de mauvais goût)
- La protection des zones humides du Ried, menacées par l’agriculture intensive
- Le sort des hôpitaux de proximité — à Haguenau, à Saverne, à Molsheim — où les urgences ferment les soirs de semaine
- Le développement du télétravail transfrontalier (parce qu’aller bosser à Kehl ou à Karlsruhe, c’est courant comme prendre le tram)
Où trouver plus d’infos fiables sur les législatives bas rhin ?
Ben tiens, vous êtes déjà au bon endroit ! Pour suivre l’actualité des législatives bas rhin sans vous faire avoir par les fake news (surtout celles qui circulent sur WhatsApp, entre tata Germaine et oncle Marcel), on vous conseille de faire un tour sur quelques références solides : - D’abord, Jean-Michel Clement, notre humble maison-mère, où chaque article est relu par un vrai humain (et parfois, un chat très exigeant). - Ensuite, plongez dans la rubrique Législation, où l’on décortique les textes comme un *Baeckeoffe* : couche après couche. - Et si vous voulez comprendre comment la loi impacte la vie quotidienne, lisez notre dossier Loi 2005 handicap : droits et mesures expliqués — parce que la politique, c’est aussi ça : rendre la vie plus juste, plus simple, plus humaine.
FAQ sur les législatives bas rhin
Quelles sont les villes du Bas-Rhin ?
Les villes du Bas-Rhin incluent Strasbourg (préfecture), Haguenau, Schiltigheim, Illkirch-Graffenstaden, Bischheim, Saverne, Obernai, Molsheim, Wissembourg, et Sélestat — sans oublier plus de 500 communes rurales, certaines comptant à peine une centaine d’habitants mais toutes impliquées dans les législatives bas rhin.
Pourquoi 67 pour le Bas-Rhin ?
Le numéro 67 attribué au Bas-Rhin provient du classement alphabétique des départements à leur création en 1790. Bien que le nom commence par un *B*, des départements comme les Bouches-du-Rhône ont été enregistrés avant, d’où ce chiffre emblématique — aujourd’hui gravé dans les codes postaux, les immatriculations, et l’ADN électoral des législatives bas rhin.
Quelle est la plus belle ville du Bas-Rhin ?
Si la beauté est subjective, Obernai est souvent citée comme *la plus belle ville du Bas-Rhin* — avec ses toits pentus, ses ruelles pavées, son mur d’enceinte médiéval, et son ambiance de conte de fées toute l’année. Elle incarne à elle seule l’âme pittoresque qui anime les débats des législatives bas rhin.
Quelles sont les plus grandes villes du Bas-Rhin ?
Les plus grandes villes du Bas-Rhin en termes de population sont Strasbourg (291 333 hab.), suivie de Haguenau (34 150), Schiltigheim (32 934), Illkirch-Graffenstaden (27 952), et Bischheim (18 827). Ces agglomérations structurent les dynamiques électorales des législatives bas rhin, notamment via la répartition en dix circonscriptions.
Références
- https://www.insee.fr/fr/statistiques/6458732
- https://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Legislatives/elecresult__legislatives-2022
- https://alsace.europ.fr/fr/accueil
- https://www.strasbourg.eu/vivre-a-strasbourg/democratie-participative






