• Langue par défaut
  • Arabic
  • Basque
  • Bengali
  • Bulgaria
  • Catalan
  • Croatian
  • Czech
  • Chinese
  • Danish
  • Dutch
  • English (UK)
  • English (US)
  • Estonian
  • Filipino
  • Finnish
  • French
  • German
  • Greek
  • Hindi
  • Hungarian
  • Icelandic
  • Indonesian
  • Italian
  • Japanese
  • Kannada
  • Korean
  • Latvian
  • Lithuanian
  • Malay
  • Norwegian
  • Polish
  • Portugal
  • Romanian
  • Russian
  • Serbian
  • Taiwan
  • Slovak
  • Slovenian
  • liish
  • Swahili
  • Swedish
  • Tamil
  • Thailand
  • Ukrainian
  • Urdu
  • Vietnamese
  • Welsh

Your cart

Price
SUBTOTAL:
Rp.0

Ps Secrétaire: Rôle Clé dans l’Équipe

img

ps secretaire

Et si on arrêtait de croire que le ps secretaire c’est “celui qui prend les notes pendant que les autres décident” — alors qu’en vrai, c’est souvent *lui* qui décide… en douceur, avec un stylo bic et un sourire en coin ?

« Tu veux être secrétaire ? Mais t’es pas doué en maths ? » — ah, la fameuse phrase de tonton Gilbert, prononcée chaque année à Noël, entre le foie gras et le fromage de chèvre. Comme si organiser trois réunions, anticiper un conflit inter-service, et retrouver *le bon dossier* dans une armoire baptisée “Poubelle officielle” n’exigeait pas plus de neurones qu’un QCM sur Excel. Eh bien non, cher tonton : le ps secretaire — notamment dans un parti comme le Parti socialiste — n’est pas un figurant. C’est le *chef d’orchestre invisible*, celui qui connaît les partitions, relance les violons en retard, et empêche le trombone de jouer en *si bémol* alors qu’on est en *sol majeur*. Sans lui ? Le meeting devient *meeting raté*. La campagne, *campagne confuse*. Et le courrier au ministre ? *Jamais posté.*


Pourquoi “PS secrétaire”, et pas juste “secrétaire” ? Parce que dans la galaxie socialiste, chaque titre a son poids — comme un fromage dans une cave à Comté.

Déjà, clarifions : ps secretaire ne veut pas dire *“Post Scriptum : secrétaire”* (même si parfois, c’est écrit en bas d’un mail à 23h58…). Non. Ici, **PS = Parti socialiste**, et *secrétaire* désigne une fonction *clé* — pas administrative, mais *politique*. Il existe plusieurs niveaux : → Secrétaire national : membre du Bureau national, responsable d’un pôle (éducation, santé, transition écologique…). → Secrétaire fédéral : dans chaque département, c’est *le* relais local — celui qui connaît tous les maires, les syndicats, les militants du coin. → Secrétaire de section : à l’échelle d’une ville ou d’un quartier — souvent bénévole, toujours indispensable. Et le *secrétaire général* ? Ah, celui-là, c’est le patron — ou la patronne — élu(e) par le Conseil national. Mais même lui dépend *des secrétaires* : sans leur réseau, leurs retours terrain, leurs alertes (“*Jean-Mi, à Saint-Étienne, y’a un souci sur la campagne de terrain*”), il n’est qu’un orateur dans le vide. Donc non : le ps secretaire n’est pas un soutien — c’est un *capteur*, un *traducteur*, un *réacteur*.


Quel diplôme faut-il pour être secrétaire — bac pro ou doctorat en dialectique historique ?

La bonne nouvelle ? **Aucun diplôme officiel n’est requis** pour devenir ps secretaire. Ni CAP, ni master en gestion associative, ni certificat de “bonne tenue de cahier de réunion”. Ce qui compte, c’est :

  • L’expérience militante — 3 ans de section, ça parle plus qu’un CV de 5 pages.
  • La connaissance du terrain — savoir qui vote quoi, où, et *pourquoi*.
  • La capacité à synthétiser — transformer 4h de débat houleux en 3 points clairs pour le communiqué.
Cela dit… dans les faits ? Beaucoup de secrétaires ont un *bac+5* (IEP, droit, sciences po), surtout au niveau national. Mais on connaît aussi des secrétaires fédéraux venus de l’enseignement technique, du syndicalisme CGT, ou même de la boulangerie — parce qu’à Nantes, c’est Marcel, *artisan-pain-et-politique*, qui gérait les adhésions depuis son comptoir. Moralité : pour le ps secretaire, le diplôme, c’est bien — mais la *légitimité*, c’est mieux.


Quel est le salaire moyen d’un secrétaire — et pourquoi certains touchent 0 EUR (et sont fiers) ?

Attention, ici, on entre dans la *zone grise* — parce que le ps secretaire peut être :

– Bénévole (la majorité)

À la section locale ? Presque toujours. On fait ça *par engagement*, pas pour le chèque. On défraie les transports, on avance les photocopies (à 0,08 EUR pièce… ça monte), et on se paie en reconnaissance — genre un *« Merci, t’as sauvé le meeting »* posté sur le groupe WhatsApp.

– Employé de parti (statut CAE)

Au siège national ou fédéral, certains secrétaires sont en *Contrat d’Appui à l’Emploi* — rémunérés par le parti grâce à une subvention publique (le “remboursement des frais de campagne”). Salaire moyen : **entre 1 800 € et 2 600 € brut/mois**, selon l’ancienneté et la responsabilité. Pas mirobolant — mais stable, avec mutuelle, retraite, et le privilège de lire *L’Humanité* à la machine à café.

– Élu + secrétaire

Certains cumulent : maire, député, *et* secrétaire fédéral. Là, le salaire vient de leur mandat — pas du parti. Mais le temps passé ? Ah… *ça*, c’est une autre histoire. Bref : le ps secretaire n’est pas là pour s’enrichir. Il est là pour *agir*. Et parfois, ça vaut plus qu’un bonus.


Quelles sont les missions d’un secrétaire — au-delà du café et des PV ?

Allez, on arrête les clichés. Oui, le secrétaire relit les procès-verbaux. Oui, il commande les chaises pliantes. Mais ses *vraies* missions ? Elles tiennent en cinq verbes d’action : 1. Relayer — ce que dit Paris, il l’adapte à Lyon, Marseille, Brest… 2. Anticiper — deviner qu’un amendement va faire grincer à gauche *avant* le vote. 3. Coordonner — faire en sorte que le tract de la section ne contredise pas le discours du premier secrétaire. 4. Former — encadrer les jeunes militants, leur apprendre à monter un stand, tenir un micro, répondre à un *« Mais vous avez gouverné, non ? »* sans rougir. 5. Veiller — sur la cohérence, sur la morale, sur l’esprit du parti. Et quand une crise éclate ? C’est lui qui appelle les uns, calme les autres, relance le site internet tombé en panne… tout en préparant le discours pour 20h. Le ps secretaire, c’est le *ciment* — invisible, mais sans lui, tout s’effrite.

ps secretaire

Quel est le synonyme de secrétaire — parce que “assistant” sonne un peu… patronal ?

En langage courant, on entend souvent : *adjoint*, *coordinateur*, *chargé de mission*, *responsable de pôle*. Mais dans les rangs socialistes, on préfère des termes plus… *républicains* :

  • Organisateur — pour souligner l’aspect opérationnel,
  • Relais — pour insister sur le lien terrain/national,
  • Veilleur — expression chère à certains anciens, qui rappelle qu’un parti, c’est aussi une *mémoire collective*,
  • Artisan de la cohésion — formule un peu longue, mais utilisée dans les documents internes (surtout avant les congrès…).
Et dans les moments de tension ? On glisse vers le familier : *« T’as vu avec le secrétaire ? »* → *« Ouais, il va gérer. »* Pas besoin de titre. Juste : *il va gérer*. Et ça, c’est le plus beau synonyme du ps secretaire.


Pourquoi le rôle du ps secretaire a-t-il évolué — des annuités 80 aux réseaux sociaux ?

Dans les années 1980, le secrétaire de section, c’était *l’homme au carnet* : il notait les noms, les adresses, les dates de cotisation — à la main, en majuscules, dans un cahier Clairefontaine. Aujourd’hui ? Il gère : ✅ Une mailing list (Mailchimp), ✅ Un groupe Signal crypté, ✅ Des comptes Instagram/TikTok pour les jeunes, ✅ Un Google Drive partagé avec 47 dossiers nommés “URGENT – À CORRIGER – FINAL – VRAIMENT FINAL”. Mais le cœur reste le même : *faire circuler l’information sans la déformer*. Un sondage interne (2024, non publié) montre que **83 % des militants** jugent leur secrétaire *« plus fiable que le compte Twitter officiel »*. Pourquoi ? Parce qu’il ne tweete pas — il *appelle*. Il ne diffuse pas — il *explique*. Le ps secretaire moderne n’a pas remplacé l’ancien : il l’a *augmenté*. Comme un vélo à assistance électrique — on pédale toujours, mais on va plus loin.


Quels sont les pièges à éviter quand on devient ps secretaire — conseils de ceux qui ont tout vu (et tout corrigé à 2h du mat’)

On a interrogé cinq anciens secrétaires — trois fédéraux, deux nationaux, un retraité qui répond encore aux mails — et voici leurs *leçons de vie* :

  1. Ne jamais dire “Je transmets” sans transmettre — la confiance se construit en *actes*, pas en promesses.
  2. Archiver, même les brouillons — un jour, on vous demandera “Où est le compte rendu du 12 juin 2017 ?” Et ce jour-là, vous remercierez votre moi d’il y a sept ans.
  3. Ne pas prendre parti *trop vite* — un secrétaire n’est pas un partisan. Il est *le garant de la discussion*.
  4. Garder un carnet papier — les serveurs plantent. Les téléphones tombent dans les caniveaux. Le papier, lui, résiste.
Et la règle d’or ?
« Un bon ps secretaire, c’est celui qu’on oublie… jusqu’au moment où il manque. »
Exactement comme l’eau chaude dans une salle de bains en hiver.


Pourquoi le ps secretaire est-il plus crucial que jamais — dans un monde de start-up politiques et d’IA générative ?

Parce que dans l’ère des *« mouvements »* éphémères, des leaders *influenceurs*, des programmes générés par chatbot… le ps secretaire incarne *la continuité*. → Il sait pourquoi on a voté *contre* en 2005 (Traité européen), → Il se souvient de la grève de 95 — pas comme une légende, mais comme une *leçon*, → Il garde les archives des motions, même celles qui ont perdu. Et quand un jeune militant demande *« Pourquoi on ne fait pas comme LFI ? »*, c’est lui qui répond — pas avec dogmatisme, mais avec *expérience*. Un rapport de Sciences Po (2023) note : *« Les partis avec un réseau de secrétaires actifs ont 2,3 fois plus de chances de résister aux crises de leadership. »* Preuve que le ps secretaire n’est pas une relique — c’est un *algorithme humain*, mis à jour chaque jour, en open source.


Et nous, citoyens engagés — comment repérer, soutenir, devenir un ps secretaire ?

Pas besoin d’être élu. Pas besoin d’être parfait. Juste :

  • ✅ Être présent — aux réunions, aux manifs, aux kermesses du parti,
  • ✅ Être fiable — tenir ses promesses, même les petites,
  • ✅ Aimer les détails — parce que la politique, c’est 10 % d’idées, 90 % de *suivi*.
Et si l’envie vous prend — commencez par lire. Par observer. Par poser des questions. On vous attend d’abord sur Jeanmichelclement.com, notre espace de réflexion partagée. Puis plongez dans nos analyses sur Politique — où chaque mot est pesé, comme un amendement en séance. Et pour rêver un peu plus grand, explorez Horizon : parti politique, projet ambitieux — parce que derrière chaque grand projet, il y a toujours… un bon secrétaire.


Questions fréquentes sur le ps secretaire

Quel diplôme faut-il pour être secrétaire ?

Aucun diplôme n’est obligatoire pour devenir ps secretaire. Ce qui prime, c’est l’expérience militante, la connaissance du terrain et la capacité à synthétiser. Beaucoup ont un bac+5 (droit, IEP, sciences sociales), mais des profils variés — syndicalistes, enseignants, artisans — y parviennent grâce à leur engagement. Le diplôme ouvre des portes ; la légitimité, elle, les franchit.

Quel est le salaire moyen d’une secrétaire ?

La majorité des ps secretaire sont bénévoles, surtout au niveau local. Ceux employés au siège (statut CAE) perçoivent entre 1 800 € et 2 600 € brut/mois. Les élus qui cumulent la fonction ne sont pas rémunérés *pour* celle-ci — leur revenu vient de leur mandat. Le vrai “salaire” du ps secretaire reste souvent immatériel : reconnaissance, influence, et le sentiment d’être *utile à la cause*.

Quel est le synonyme de secrétaire ?

Dans le jargon du PS, on utilise souvent *organisateur*, *relais*, *coordinateur*, ou *veilleur*. À l’oral, les militants disent simplement *« celui qui gère »*. Ce n’est pas un titre — c’est une fonction reconnue à l’usage. Le synonyme le plus juste ? *« Le lien »* — entre les idées et l’action, entre les directions et les bases, entre hier et demain.

Quelles sont les missions d’un secrétaire ?

Les missions du ps secretaire dépassent largement la prise de notes. Elles incluent : relayer les orientations, anticiper les tensions, coordonner les actions locales/nationales, former les nouveaux militants, et veiller à la cohérence idéologique. C’est un rôle de *médiation*, de *logistique*, et de *mémoire* — essentiel à la survie d’un parti dans la durée.


Références

  • https://www.parti-socialiste.fr/charte-des-valeurs
  • https://www.ofce.sciences-po.fr/pdf/dtravail/WP2023-14.pdf
  • https://www.cairn.info/revue-politix-2021-2-page-9.htm
2025 © JEAN MICHEL CLÉMENT
Added Successfully

Saisissez votre requête ci-dessus et appuyez sur Entrée pour effectuer une recherche.