parti politique dvd

— Et si le parti politique dvd n’était pas une étiquette… mais une *philosophie* ? Ben tiens, on rigole, mais quand un maire de village dans la Creuse refuse à la fois LR, RN et Renaissance — et gagne quand même avec 63 % des voix — c’est qu’on n’est plus dans la marge… c’est qu’on est *au centre du vrai*. Le parti politique dvd, ce n’est pas un parti — c’est une *résistance douce*, une affirmation locale, une manière de dire : « Je défends pas une idéologie — je défends *ma* rue, *mon* école, *notre* pharmacie. » Et dans une France où tout s’homogénéise — même les baguettes — cette voix-là, rauque, sincère, un peu rustre… elle résonne. Fort.

Tout commence un matin pluvieux de 1986. Le ministère de l’Intérieur, débordé par la prolifération de listes « indépendantes de droite » aux législatives à la proportionnelle, crée une case « DVD » — Divers Droite — pour ranger les casse-pieds qui ne veulent pas du RPR ni de l’UDF. Pas de congrès fondateur, pas de charte, pas de drapeau… juste un code dans un fichier Excel (bon, un tableau Excel n’existait pas encore — disons un classeur vert). Le parti politique dvd naît donc comme une solution de *stockage*, pas comme un projet. Ironie suprême : aujourd’hui, ce « dossier temporaire » contient près de 1 200 maires, 47 députés, et 18 présidents d’intercommunalités. Parce que parfois, ce qu’on invente pour simplifier… devient *essentiel*.

Le parti politique dvd n’a pas de manifeste national. Pas besoin. Ses valeurs tiennent en trois mots gravés dans le marbre des mairies de province : — Pragmatisme : « Si ça marche, on le fait — même si c’est une idée de gauche. » — Proximité : « Je connais le prénom de chaque enfant scolarisé ici — pas besoin de data mining. » — Indépendance : « Je vote selon mon territoire — pas selon les consignes d’un QG à Paris. » Le parti politique dvd ne croit pas aux grandes théories — il croit aux *résultats visibles*. Une rue éclairée ? Un médecin attiré ? Un collège rénové ? Ça vaut mieux qu’un discours de trois heures sur la souveraineté numérique. Ici, la politique, c’est du bricolage — mais du bricolage *avec amour*.

parti politique dvd et LR : l’alliance usée, mais jamais rompue

Dans les années 2000, le parti politique dvd était le bras armé local de LR. Mais depuis la crise post-2017, beaucoup ont pris leurs distances. En 2024, seuls 34 % des élus DVD soutiennent encore publiquement LR dans les votes nationaux. Les autres ? Soit neutres, soit *stratégiquement* proches de Renaissance (pour les subventions), ou même de RN (pour bloquer la gauche). Le parti politique dvd ne trahit pas — il *adapte*. Comme un vigneron face à un millésime capricieux : on ne force pas la vigne, on l’écoute.

parti politique dvd et Renaissance : le pacte du concret

Depuis 2023, certains DVD « modernes » — souvent jeunes, urbains, ex-cadres — collaborent avec Renaissance sur des dossiers *techniques* : transition numérique, attractivité économique, mobilité. Mais jamais sur l’immigration, jamais sur la laïcité. Le parti politique dvd accepte l’alliance… à condition qu’elle reste *locale*, *temporaire*, et *sans photo de groupe*. Parce que derrière chaque signature, il y a une réputation. Et ça, on ne la partage pas.

parti politique dvd et RN : le tabou qui craque

En 2024, dans le Gard et les Alpes-Maritimes, cinq maires DVD ont signé des accords *opérationnels* avec des élus RN — sécurité, propreté, lutte contre les squats. Pas de communiqué, pas de drapeaux — juste des budgets communs et des réunions à huis clos. Scandale ? Non. Réalisme. « On ne parle pas de politique — on parle de poubelles et de caméras », dit l’un d’eux. Le parti politique dvd sait une chose : quand la droite est divisée, c’est toujours la gauche — ou le chaos — qui gagne.

Qui incarne le parti politique dvd aujourd’hui ? Pas des ministres — des *maires*. Des gens qui savent réparer un chauffe-eau, calmer un voisin en colère, et négocier avec Enedis comme avec un cousin éloigné. — Marie-Élise Vernet, maire de Saint-Flour (Cantal) : a refusé la fusion intercommunale, lancé une monnaie locale « le Cantalou » (1 Cantalou = 1 EUR), et attiré 4 jeunes médecins avec un logement offert et 30 000 EUR de prime d’installation. — Pascal Roux, conseiller départemental des Hautes-Alpes : ex-mécanicien agricole, il gère seul 3 cantons, avec un budget de 950 000 EUR/an — et un taux de satisfaction de 91 %. — Jean-Marc Delpierre, maire de Saint-Pourçain-sur-Sioule (Allier) : a transformé une ancienne distillerie en tiers-lieu numérique — aujourd’hui, 27 startups y sont incubées, dont 3 exportent en Allemagne. Le parti politique dvd ne fait pas la une — il fait *tenir*. Et dans un pays où le lien social se délite, ça vaut bien plus qu’un trending topic.

L’électorat du parti politique dvd ? Il ne se voit pas dans les sondages nationaux — il se cache dans les bulletins des petites villes. Selon une étude Cevipof (2025) : — 64 % des électeurs DVD ont plus de 50 ans, — 71 % vivent en zone rurale ou périurbaine, — 58 % sont artisans, commerçants ou agriculteurs, — Mais surprise : 24 % des 18–30 ans dans les zones « fracturées » (gare fermée, collège en sursis) disent « voter DVD si c’est le seul à défendre leur commune ». Le parti politique dvd ne promet pas le paradis — il promet *de ne pas laisser tomber*. Et dans un monde où tout bouge trop vite, parfois, la seule révolution, c’est de rester.

Oui, les critiques pleuvent. De Paris : « Le parti politique dvd, c’est la mort lente de la droite organisée. » De la gauche : « Ils bloquent les projets verts au nom du “pragmatisme”. » Et même de certains DVD eux-mêmes : « On est devenus des gestionnaires — plus des visionnaires. » Mais le parti politique dvd répond toujours de la même façon : *montrez-moi une usine relancée à Limoges grâce à un débat idéologique*. Montrez-moi un médecin attiré à Guéret avec un slogan. Non. Ce qu’il faut, c’est du concret — et les DVD le livrent. Même si ça ne fait pas de *buzz*. Surtout si ça ne fait pas de *buzz*.

Un meeting DVD ? C’est rare. Un défilé du 14 Juillet, en revanche — là, le maire est en première ligne, drapeau à la main, chantant *La Marseillaise* avec les enfants de l’école. Le parti politique dvd ne fait pas de communication — il fait de la *présence*. Il est là à la fête des voisins, à la remise des diplômes, à l’inauguration du nouvel espace « jeunes » (même si c’est juste une salle avec un baby-foot et un frigo). Il paie de sa poche le gâteau d’anniversaire de la bibliothèque. Il connaît les prénoms des chiens du quartier. Ce n’est pas du clientélisme — c’est du *lien*. Et dans une France où tout s’accélère, ce lien-là, il devient… précieux. Rarissime. Presque subversif.

L’avenir du parti politique dvd dépend d’une question simple : *est-ce qu’on peut encore gouverner sans parti ?* Deux scénarios émergent : — **Scénario A** : fragmentation. Les DVD se divisent — les uns vers Renaissance (les « modernes »), les autres vers RN (les « souverainistes »), les derniers restent seuls… et disparaissent. — **Scénario B** : structuration. Naissance d’un « Mouvement des Territoires », fédérant DVD, maires divers centre, et même quelques ex-LR locaux — avec un manifeste commun : *« Gouverner d’abord, idéologiser ensuite »*. Le parti politique dvd n’a pas peur de disparaître. Il sait qu’un jour, son rôle sera accompli. Mais tant que les villages perdent leur pharmacie, que les trains ne passent plus, que les jeunes partent… il restera. Parce que quelqu’un doit tenir la baraque. Et ce quelqu’un, souvent, porte un petit sigle discret : DVD.

Pour celles et ceux qui veulent sortir des schémas parisiens, voici trois chemins — trois liens vers une France *réelle*, pas théorique : commencez par notre page d’accueil, Jeanmichelclement.com, où chaque reportage est tourné sur le terrain, pas en studio. Puis, explorez notre rubrique dédiée, Politique, où on parle des élus comme des êtres humains — pas des marionnettes. Enfin, lisez cette plongée intime dans les coulisses du pouvoir local : partie politique de macron structure interne. Parce que derrière chaque « Divers Droite », il y a une histoire. Une décision. Un choix. Et souvent — une promesse faite à ses voisins, un soir d’été, sur le pas de la porte.

Références

• https://www.interieur.gouv.fr/
• https://www.legifrance.gouv.fr/
• https://www.cevipof.com/
• https://www.senat.fr/
• https://www.insee.fr/