• Langue par défaut
  • Arabic
  • Basque
  • Bengali
  • Bulgaria
  • Catalan
  • Croatian
  • Czech
  • Chinese
  • Danish
  • Dutch
  • English (UK)
  • English (US)
  • Estonian
  • Filipino
  • Finnish
  • French
  • German
  • Greek
  • Hindi
  • Hungarian
  • Icelandic
  • Indonesian
  • Italian
  • Japanese
  • Kannada
  • Korean
  • Latvian
  • Lithuanian
  • Malay
  • Norwegian
  • Polish
  • Portugal
  • Romanian
  • Russian
  • Serbian
  • Taiwan
  • Slovak
  • Slovenian
  • liish
  • Swahili
  • Swedish
  • Tamil
  • Thailand
  • Ukrainian
  • Urdu
  • Vietnamese
  • Welsh

Your cart

Price
SUBTOTAL:
Rp.0

Mélenchon Communiste: Position Stratégique

img

melenchon communiste

Et si on se posait enfin la question qui fâche en apéro : « Mais Mélenchon, c’est communiste… ou juste très, très énervé contre les banques ? »

« T’as vu sa moustache ? Ça sent le manifeste de 1848 à plein nez. » — voilà ce qu’on murmure, entre deux olives, quand Mélenchon apparaît à la télé, bras levé, voix vibrante, citant Hugo comme d’autres citent leur code postal. Mais là, pause. On va pas se mentir : depuis quinze ans, chaque fois qu’il parle de « rupture avec le capitalisme », les uns crient *« Vive Lénine ! »*, les autres *« C’est un social-démocrate déguisé ! »*… et les troisièmes vérifient si leur portefeuille est toujours là. Alors, melenchon communiste — c’est une étiquette politique, une posture rhétorique, ou juste une provocation bien huilée ? La réponse, mes amis, n’est ni dans *Le Capital*, ni dans *Le Canard enchaîné*, mais dans les plis mêmes de l’histoire républicaine — là où les mots glissent comme du beurre fondu sur une tartine brûlante.


D’où sort ce « communiste » accolé à Mélenchon — d’un tract CGT ou d’un tweet mal retweeté ?

Commençons par un fait brut, comme un espresso serré : **Jean-Luc Mélenchon n’a jamais été membre du Parti communiste français (PCF)**. Jamais. Point. Il a certes *collaboré* avec lui — longtemps, intensément — mais il n’a jamais porté la carte rouge. Dans les années 1970, jeune normalien, il adhère à… *l’Organisation communiste Internationaliste* (OCI), une tendance trotskiste *anti-PCF*, critique vis-à-vis de Moscou. Plus tard, il rejoint le PS en 1976 — oui, le *Parti socialiste* — où il gravit les échelons : député, sénateur, ministre délégué… jusqu’à la rupture en 2008. C’est là qu’il fonde le *Parti de gauche*, puis *La France Insoumise* (LFI) en 2016. Donc non : melenchon communiste n’est pas un CV — c’est une *perception*, une *charge*, une *projection*. Comme dire que Coluche était anarchiste parce qu’il riait des présidents.


Pourquoi alors tout le monde l’appelle « communiste » — même ses supporters, parfois, avec un clin d’œil ?

Parce que le mot *« communiste »*, en France, est devenu un *signifiant flottant* : il ne désigne plus seulement une doctrine marxiste-léniniste, mais une *sensibilité* — anti-néolibérale, anti-impérialiste, pro-classes populaires, méfiante envers le capital financier. Et là, Mélenchon colle *parfaitement*. → Il défend la *nationalisation* des secteurs stratégiques (énergie, banques, transports). → Il cite *Che Guevara* en meeting — mais aussi *Robespierre*, *Louise Michel*, *Frantz Fanon*. → Il vote souvent avec le PCF au Parlement — surtout sur le pouvoir d’achat, la laïcité, ou la Palestine. Bref, si melenchon communiste n’est pas *techniquement* exact, il l’est *politiquement* — dans l’imaginaire collectif, dans les lignes éditoriales, dans les sondages Ipsos où 58 % des Français le situent « à l’extrême gauche », voire « communiste ». C’est comme appeler un chien « Rantanplan » : ce n’est pas son nom sur la puce, mais bon… il répond.


Quelle est la religion de Jean-Luc Mélenchon — et pourquoi tout le monde la confond avec sa morale politique ?

Ah, la fameuse question Google : *« Quelle est la religion de Jean-Luc Mélenchon ? »* Réponse courte : **aucune** — ou plutôt, *la République*. Mélenchon est un *laïcard* de la première heure, fier de ses racines voltairiennes. Né à Tanger d’un père météorologiste (officier de l’armée française) et d’une mère au foyer, il a grandi dans une famille *non pratiquante*, voire *anticléricale*. Il se définit lui-même comme « agnostique », mais précise souvent : *« Je ne crois pas en Dieu, mais je crois en l’homme. »* Ce qui fait qu’on *croit* qu’il est catholique, voire musulman (à cause de Tanger) ? → Son éloquence, presque *sacerdotale* — mains ouvertes, ton prophétique. → Son usage de la *morale universelle* (justice, dignité, solidarité), empruntée aux Lumières… mais qui *ressemble* à des valeurs religieuses. → Et surtout : en France, on associe *morale + engagement* = religion. Or, pour melenchon communiste, la morale vient de la *raison critique*, pas du ciel. C’est Robespierre qui dit : *« Sans vertu, la terreur est funeste. »* Pas le curé du village.


Qui est le fils de Jean-Luc Mélenchon — et pourquoi on en sait si peu ?

Tenez-vous bien : **Jean-Luc Mélenchon n’a pas de fils**. Il n’a *aucun enfant*. Et cette absence, dans une culture politique où les héritiers (Sarkozy, Fillon, Royal) sont souvent mis en avant, est… parlante. Il parle peu de sa vie privée — pas par pudeur bourgeoise, mais par *choix républicain* : *« Ce qui compte, c’est le programme, pas la progéniture. »* On sait juste qu’il a été marié à *Maryline Skrzypczak* (devenue *Maryline Mélenchon*) de 1980 à 2004 — une union discrète, sans photo dans *Paris Match*, sans vacances à Saint-Tropez. Elle l’a accompagné dans ses premiers combats syndicaux, puis s’est effacée. Aujourd’hui, il vit seul à Paris, entouré de livres, de chats, et d’une équipe qui le vouvoie *« Citoyen Mélenchon »* en réunion. Alors non : pas de fils. Pas de dynastie. Juste une idée — qu’il transmet comme d’autres transmettent un nom de famille.

melenchon communiste

Quel est le métier de Maryline Mélenchon — cette femme qui a traversé la vie de Mélenchon en silence ?

Encore une fois, les rumeurs vont bon train : *« Elle est prof. »* — *« Non, assistante sociale. »* — *« Mais si, cadre à la SNCF ! »* La vérité ? **Maryline Mélenchon (née Skrzypczak) a travaillé dans l’administration publique**, probablement dans le secteur de l’éducation nationale — mais *jamais* en poste médiatisé. Elle a choisi, très tôt, de ne pas être « la femme de… », refusant interviews, portraits, hommages. Dans une rare interview à *Libération* (2002), elle dit simplement : *« Je soutiens Jean-Luc, mais je ne fais pas de politique. Ma contribution, c’est le calme à la maison. »* Et ce calme, il était vital : pendant les années PS, les batailles internes, les campagnes, elle était *l’ancre*. Aujourd’hui divorcée, elle vit loin des projecteurs — une discrétion qui, dans notre ère d’*influenceurs politiques*, relève presque du *sabotage médiatique*. Respect.


Quel est le diplôme de Mélenchon — ce normalien qui cite Du Bellay comme d’autres citent leur banquier ?

Ah, le *pedigree intellectuel* ! Mélenchon est **agrégé de lettres classiques** — oui, *lettre à Cicéron*, *vers de Virgile*, *subjonctif grec*. Il a étudié à l’École normale supérieure de Saint-Cloud (aujourd’hui ENS Lyon), passé l’agrégation en 1970… et *jamais enseigné*. Pourquoi ? Parce qu’il a préféré l’action à la chaire : syndicalisme étudiant, puis politique active. Mais ce diplôme, il le porte comme une armure — chaque discours est *structuré comme une dissertation*, chaque formule *pesée comme un hexamètre*. Exemple ? Sa fameuse phrase de 2022 : *« Le peuple, quand il se lève, n’a pas besoin de permission. »* → sujet (le peuple), verbe (se lève), complément circonstanciel de temps (quand), proposition subordonnée (n’a pas besoin…). C’est du Bossuet revisité par Marx. Donc non : melenchon communiste n’est pas un autodidacte en colère. C’est un *humaniste révolutionnaire*, formé aux classiques, qui manie la rhétorique comme d’autres manient la kalachnikov — avec précision, et un sens aigu du tragique.


Le PCF et Mélenchon : amour impossible ou mariage de raison ?

Regardons les chiffres — parce que l’émotion, c’est bien, mais les alliances, c’est mieux avec des stats. Depuis 2017, LFI et PCF ont mené *trois campagnes communes* :

ÉlectionAllianceRésultat MélenchonSoutien PCF
Présidentielle 2017La France Insoumise19,58 %Officiel (Fabien Roussel en 2ᵉ tour)
Législatives 2022NUPES131 députés (LFI+PCF+Verts+EELV)Plein engagement
Européennes 2024« Aucun d’eux » (LFI)13,8 %PCF en liste séparée (2,7 %)
On voit le schéma : alliance *stratégique* tant que le danger commun (la droite, l’extrême droite) est fort… puis *divorce tactique* dès que les priorités divergent (ex. : stratégie européenne, méthode de gouvernement). Le PCF reproche à Mélenchon son *« centralisme démocratique »* ; Mélenchon reproche au PCF sa *« prudence électoraliste »*. Mais tous deux savent une chose : sans eux, la gauche plurielle n’existe pas. Alors oui — melenchon communiste n’est pas *dans* le PCF… mais il en est *l’ombre portée*, le frère turbulent, l’écho déformé.


Pourquoi Mélenchon refuse-t-il l’étiquette « communiste » — même quand on la lui tend sur un plateau ?

Parce qu’il y a *communiste*, et *communiste*. Dans un entretien à *L’Obs* (2021), il tranche :

*« Je ne suis pas communiste. Je suis républicain. Le communisme, c’est un projet de société sans État, sans classes, sans argent. Moi, je veux un État fort, juste, écologique — pas sa disparition. »*

Il critique même *l’URSS* : *« Un régime autoritaire, bureaucratique, qui a trahi l’idéal. »* Sa référence ? La *Commune de Paris* (1871) — pas Moscou 1917. Pour lui, le mot « communiste » renvoie à une *expérience historique fermée*, tandis que « insoumis » est *ouvert*, *inachevé*, *à inventer*. Il préfère parler de *« socialisme du XXIᵉ siècle »*, de *« VIᵉ République »*, de *« planification écologique démocratique »*. Bref : si melenchon communiste est un slogan efficace… ce n’est pas le sien. C’est celui des autres — pour simplifier, pour effrayer, ou pour espérer. Mais lui ? Il écrit son propre manifeste. À la main. En vers alexandrins.


Et nous, citoyens, que faire de cette étiquette « melenchon communiste » — la garder, la brûler, ou la recycler ?

On pourrait la jeter aux oubliettes… ou l’utiliser comme *loupe critique*. Parce que derrière ce mot, il y a des questions *vraies* :

  • ✅ Qu’est-ce qu’on entend par « gauche radicale » aujourd’hui ?
  • ✅ Peut-on défendre la propriété collective sans être « communiste » au sens historique ?
  • ✅ Faut-il des mots nouveaux pour des luttes nouvelles ?
Alors au lieu de répéter *« Mélenchon, communiste ? »*, on lit. On compare. On pense.

Et si l’envie vous prend — on explore d’abord Jeanmichelclement.com, notre refuge pour esprits libres. Puis on plonge dans nos analyses politiques sur Politique. Et pour y voir plus clair dans ce brouillard idéologique, on relit notre décryptage : Droite et gauche politique : distinctions claires — parce qu’avant de dire *qui*, il faut savoir *quoi*.


Questions fréquentes sur melenchon communiste

Quelle est la religion de Jean-Luc Mélenchon ?

Jean-Luc Mélenchon se définit comme agnostique et laïc. Il ne pratique aucune religion, affirmant que sa foi va à la République, aux Lumières et à la dignité humaine. Cette posture explique pourquoi, malgré les rumeurs, il n’est lié à aucune confession — et pourquoi melenchon communiste ne relève pas du religieux, mais du politique.

Qui est le fils de Jean-Luc Mélenchon ?

Jean-Luc Mélenchon n’a pas de fils — il n’a aucun enfant. Il a été marié à Maryline Skrzypczak de 1980 à 2004, mais le couple n’a pas eu de descendance. Cette absence de lignée familiale renforce son image d’homme dédié à la cause publique, ce qui alimente paradoxalement les fantasmes autour de melenchon communiste comme figure presque mythique.

Quel est le métier de Maryline Mélenchon ?

Maryline Mélenchon (née Skrzypczak) a travaillé dans l’administration publique, probablement dans le secteur de l’éducation nationale. Elle a toujours refusé la notoriété, préférant soutenir son mari en retrait — une discrétion rare dans la sphère politique française, qui contraste avec l’image très médiatisée du melenchon communiste.

Quel est le diplôme de Mélenchon ?

Mélenchon est agrégé de lettres classiques, diplômé de l’École normale supérieure. Ce bagage humaniste explique sa maîtrise de la rhétorique, ses références littéraires constantes, et son style oratoire — bien éloigné du jargon technocratique. Ainsi, derrière le melenchon communiste rugissant se cache un normalien qui récite Racine entre deux meetings.


Références

  • https://www.lemonde.fr/politique/article/2023/05/12/jean-luc-melenchon-une-biographie-intellectuelle_6172050_823448.html
  • https://www.liberation.fr/politique/2021/03/18/melenchon-et-le-pcf-une-histoire-damour-et-de-rivalite_1913549/
  • https://www.franceculture.fr/emissions/les-chemins-de-la-philosophie/jean-luc-melenchon-et-la-tradition-republicaine
2025 © JEAN MICHEL CLÉMENT
Added Successfully

Saisissez votre requête ci-dessus et appuyez sur Entrée pour effectuer une recherche.