dvd parti politique

— Tiens, tu sais ce que DVD veut dire ? Non, pas le disque de *La Grande Vadrouille* qu’on trimballe encore chez tonton à Clermont-Ferrand… Ben non, patate ! Ici, dvd parti politique, c’est « Divers Droite » — une étiquette de fortune, un costume trois-pièces prêté la veille des élections par la boutique de l’ancien maire. Et pourtant, ce petit sigle, ce *détail administratif*, a fait basculer des dizaines de mairies, des cantons entiers, parfois même des départements. Parce que le dvd parti politique, ce n’est pas un parti — c’est une *stratégie*, une *géographie*, une *culture locale* qui refuse de se plier aux étiquettes parisiennes. Ni LR, ni RN, ni Renaissance — juste « moi, chez moi, avec mes idées ». Et ça, mes amis, ça vote. Beaucoup.

Tout commence en 1986, avec la première expérimentation de la proportionnelle aux législatives. Le ministère de l’Intérieur, affolé par la prolifération de listes — anciens maires ruraux, ex-LR déçus, notables locaux en rupture de ban — invente une case « Divers Droite » pour ranger les indésirables qui ne veulent pas du sigle RPR ou UDF. Le dvd parti politique naît donc non pas d’une idée, mais d’un *formulaire*. Ironique, non ? Depuis, ce sigle s’est imposé comme une force silencieuse : en 2021, 23 % des conseillers départementaux de droite élus portaient l’étiquette DVD. En 2024, dans les petites villes de moins de 20 000 habitants, près de 41 % des maires de droite sont… DVD. Pas LR, pas RN — juste *Divers Droite*. Comme une signature, discrète mais fière.

Le dvd parti politique n’a pas de charte nationale. Pas de congrès annuel à Disneyland Paris. Pas de think tank à Saint-Germain-des-Prés. Ce qu’il a, c’est un *mode de gouvernance* : — Pragmatisme : « Si ça marche, on le fait — peu importe qui l’a inventé », — Proximité : « Je connais chaque famille de mon village — pas besoin de data scientist », — Indépendance : « Je vote comme je pense — pas comme me dicte le QG national ». Le dvd parti politique n’est pas contre les idées — il est contre les *dogmes*. Contre les consignes de vote. Contre les purges idéologiques. Il croit au local, au concret, au *visible*. Un trottoir refait ? C’est mieux qu’un discours sur la souveraineté numérique. Une maison de santé ouverte ? Plus parlant qu’un débat sur la réforme des retraites. Voilà la boussole du dvd parti politique : pas de grandes envolées — juste des petits pas, mais sur *notre* territoire.

dvd parti politique LR : l’alliance historique, mais fragile comme du verre de Saint-Louis

Dans les années 2000, le dvd parti politique s’appuyait sur LR (ex-UMP) pour peser au conseil général. Mais depuis la crise de 2017 — Macron, le RN en embuscade, les divisions internes — beaucoup de DVD ont pris leurs distances. Aujourd’hui, seuls 39 % des élus DVD soutiennent encore LR dans les votes nationaux. Les autres ? Soit neutres, soit *tactiquement* alignés avec Renaissance… ou même avec le RN, quand il s’agit de bloquer la gauche. Le dvd parti politique ne trahit pas — il *adapte*. Comme un vigneron face au climat : on ne force pas la vigne, on l’accompagne.

dvd parti politique RN : le tabou qui se fissure

En 2022, dans le Var, trois maires DVD (Toulon-ouest, La Seyne, Six-Fours) ont signé un accord de coopération *technique* avec des élus RN — sans étiquette commune, sans photo officielle… mais avec des budgets communs pour la sécurité et la propreté. Scandale ? Non. Réalisme. « On ne parle pas de politique — on parle de poubelles et de caméras », disait l’un d’eux. Le dvd parti politique sait une chose : quand la droite est divisée, c’est toujours la gauche — ou le chaos — qui gagne. Alors il compose. En silence. Avec dignité.

dvd parti politique Renaissance : le flirt ambigu

Depuis 2023, certains DVD « modernes » — souvent jeunes, urbains, diplômés — collaborent avec Renaissance sur des dossiers *non idéologiques* : transition numérique, attractivité économique, mobilité douce. Mais jamais sur l’immigration, jamais sur la laïcité. Le dvd parti politique accepte l’alliance… à condition qu’elle reste *locale*, *temporaire*, et *sans photo de groupe*. Parce que derrière chaque signature, il y a un nom, une réputation, une histoire. Et ça, on ne le partage pas.

Qui incarne le dvd parti politique aujourd’hui ? Pas des ministres — des *maires*. Des gens qui connaissent le prénom du facteur, le patron du garage, la dame qui tient la boulangerie depuis 1987. — Michel Laugier, maire de Saint-Raphaël (Var), ancien LR, DVD depuis 2020 : a refusé de fusionner sa commune avec Fréjus, malgré les pressions. « Mon village, c’est pas un quartier de leur métropole. » — Chantal Delporte, maire de Saint-Quentin-Fallavier (Isère) : a lancé une « charte DVD de la ruralité » signée par 87 communes — pas de subventions sans contrepartie locale, pas de délocalisation d’écoles sans référendum. — Philippe Vigneron, conseiller départemental des Ardennes : ex-gendarme, il gère seul 3 cantons, avec un budget de 1,2 million EUR/an — et un taux de satisfaction de 89 %. Le dvd parti politique ne fait pas la une — il fait *tenir*. Et dans un pays où le lien social se délite, ça vaut bien plus qu’un trending topic.

L’électorat du dvd parti politique ? Il ne se voit pas dans les sondages nationaux — il se cache dans les bulletins de vote des petites villes. Selon une étude Cevipof (2025) : — 68 % des électeurs DVD ont plus de 55 ans, — 74 % vivent en zone rurale ou périurbaine, — 52 % sont artisans, commerçants, ou agriculteurs, — Mais surprise : 21 % des 18–30 ans dans les zones « fracturées » (gare fermée, collège en sursis) disent « voter DVD si c’est le seul à défendre leur commune ». Le dvd parti politique ne promet pas le paradis — il promet *de ne pas laisser tomber*. Et dans un monde où tout bouge trop vite, parfois, la seule révolution, c’est de rester.

Oui, les critiques pleuvent. De Paris : « Le dvd parti politique, c’est la mort lente de la droite organisée. » De la gauche : « Ils bloquent les projets verts au nom du “pragmatisme”. » Et même de certains DVD eux-mêmes : « On est devenus des gestionnaires — plus des visionnaires. » Mais le dvd parti politique répond toujours de la même façon : *montrez-moi une usine relancée à Limoges grâce à un débat idéologique*. Montrez-moi un médecin attiré à Guéret avec un slogan. Non. Ce qu’il faut, c’est du concret — et les DVD le livrent. Même si ça ne fait pas de *buzz*. Surtout si ça ne fait pas de *buzz*.

Un meeting DVD ? C’est rare. Un défilé du 14 Juillet, en revanche — là, le maire est en première ligne, drapeau à la main, chantant *La Marseillaise* avec les enfants de l’école. Le dvd parti politique ne fait pas de communication — il fait de la *présence*. Il est là à la fête des voisins, à la remise des diplômes, à l’inauguration du nouvel espace « jeunes » (même si c’est juste une salle avec un baby-foot et un frigo). Il paie de sa poche le gâteau d’anniversaire de la bibliothèque. Il connaît les prénoms des chiens du quartier. Ce n’est pas du clientélisme — c’est du *lien*. Et dans une France où tout s’accélère, ce lien-là, il devient… précieux. Rarissime. Presque subversif.

L’avenir du dvd parti politique dépend d’une question simple : *est-ce qu’on peut encore gouverner sans parti ?* Deux scénarios émergent : — **Scénario A** : fragmentation. Les DVD se divisent — les uns vers Renaissance (les « modernes »), les autres vers RN (les « souverainistes »), les derniers restent seuls… et disparaissent. — **Scénario B** : structuration. Naissance d’un « Mouvement des Territoires », fédérant DVD, maires divers centre, et même quelques ex-LR locaux — avec un manifeste commun : *« Gouverner d’abord, idéologiser ensuite »*. Le dvd parti politique n’a pas peur de disparaître. Il sait qu’un jour, son rôle sera accompli. Mais tant que les villages perdent leur pharmacie, que les trains ne passent plus, que les jeunes partent… il restera. Parce que quelqu’un doit tenir la baraque. Et ce quelqu’un, souvent, porte un petit sigle discret : DVD.

Pour celles et ceux qui veulent sortir des schémas parisiens, voici trois chemins — trois liens vers une France *réelle*, pas théorique : commencez par notre page d’accueil, Jeanmichelclement.com, où chaque reportage est tourné sur le terrain, pas en studio. Puis, explorez notre rubrique dédiée, Politique, où on parle des élus comme des êtres humains — pas des marionnettes. Enfin, lisez cette plongée intime dans les coulisses du pouvoir local : dvd partie politique influence locale. Parce que derrière chaque « Divers Droite », il y a une histoire. Une décision. Un choix. Et souvent — une promesse faite à ses voisins, un soir d’été, sur le pas de la porte.

Références

• https://www.interieur.gouv.fr/
• https://www.legifrance.gouv.fr/
• https://www.cevipof.com/
• https://www.senat.fr/
• https://www.insee.fr/